Permettez-moi de vous demander comment vous traitez cet hôte divin. Combien de fois, dans le cours d’une journée, pensez-vous au fait que votre corps est le temple du Saint Esprit ?
Si le président du pays que nous habitons, venait pour quelques jours faire sa demeure sous notre toit sa présence occuperas certainement toutes nos pensées. En est-il de même du Saint Esprit qui habite en nous ?
La présence de l’Esprit crucifie l’égoïsme et nous libère de l’occupation de nous-mêmes. Dans le chemin que nous parcourons, car il nous remplit entièrement de Jésus.
Là où la vie de la chair prend fin, celle de l’Esprit commence. La chair est tenue pour morte que nous avons de la puissance pour manifester la vie de l’Esprit.
Posséder le Saint Esprit est une chose ; être rempli du Saint Esprit en est une autre. Lorsqu’Il est la seule source de mes pensées, je suis rempli de l’Esprit (Eph. 5:19). S’Il a pris possession de mon cœur, j’ai la puissance de réduire au silence ce qui n’est pas de Dieu. De garder mon âme du mal et de me diriger dans tous les actes de ma vie et de ma conduite.
Souvent on a besoin de répréhension, mais la chair ne peut reprendre ma chair ; et celle-ci ne se soumettra pas à la chair d’un autre ; mais si je marche en réalité dans la puissance de l’Esprit, j’aurai l’autorité de Dieu selon ma mesure et le diable devra céder à l’Esprit.
L’Esprit déborde comme « des fleuves d’eau vive » dans l’âme de celui dans lequel il habite et son abondance coule vers tout ce qui l’entoure, que ce soit sur un bon terrain ou un terrain aride ; mais, quoi qu’il en soit, la propriété de l’Esprit, sa nature et sa puissance, est de jaillir sans cesse.
Nous devrions être capables de confondre tous les ennemis. Non par la sagesse ou par l’intelligence ou par les connaissances de l’homme mais dans la puissance de l’Esprit.
Lorsqu’un homme n’est pas rempli de l’Esprit de Dieu qui donne de la puissance à la vérité dans son cœur et de la clarté à sa vision morale, le pouvoir séducteur de l’ennemi confond l’imagination.
Garder l’épée de l’Esprit, parce je sais qu’elle est tranchante et pénétrante comme une épée à deux tranchants. C’est pourquoi je m’en sers, et vous devez aussi.
